Je ne suis pas douée pour beaucoup de chose mais une chose qui est sur c'est que je reste égal à moi même, l'entourage pourra tout faire pour me changer rien n'y parviendra, le naturel reviens toujours au galot.
J'ai peur et parfois mal de me perdre, dans ces moments cru de l'obscurité, la lumière ce fais loin mais elle est présente. Les grands coins d'ombres, ces coins de notre nature que l'on arrive pas encore à assumé, à ce ressoudre à dire qu'ils font partit intégrante de nous.
Vous savez ces moments bizarre qui nous raméne à nous même, ce “je” qui nous fait devenir un grande personne, ce “je” qui nous individualise, ce “je” qui ne nous appartiens, qui font de nous tous des personnes “à part”.
Tous unique, tous égaux, tous fous, tous un peu plus les uns que les autres incompréhensibles…
Et un jour ce “Je” ce transforme en “nous” et là on sais qu'on à grandit. Alors ont met certaine chose que l'on avais de côté, ces choses qui refléte notre enfance, on passe le relai de l'enfance…
Le Nous nous fais passé par des chemins liés d'enbuche, nous perturbe le coeur, le chamboule litéralement, renverse nos habitudes de “vieille fille” que l'on commence à avoir, même si on n'à pas encore 30 ans
